Du dysfonctionnement du cerveau sous stress…
En situation normale, notre cerveau est en mesure de réaliser toutes sortes d’activités complexes et même de fonctionner en mode « automatique » sans avoir à y réfléchir. Mais dès l’instant que nous sommes confrontés à la peur, la douleur ou la peur de la douleur, notre cerveau se « débranche » pour activer l’instinct de survie et induire un comportement de fuite ou de lutte. C’est une réaction primaire face à une situation que l’on perçoit comme dangereuse.
Sous stress, notre cerveau se met donc en mode « survie », diminuant notre capacité mentale et nos performances. Il libère des hormones de stress dans la circulation sanguine qui activent les parties du cerveau associées à la survie physique, entraînant cette sensation d’engourdissement que nous avons tous déjà expérimenté lors d’un état de choc ou d’un stress physique.
…aux difficultés d’apprentissage scolaire
Difficile dans cet état d’avoir une pensée claire ! Il est alors impossible d’y faire face par la seule volonté, car c’est la partie du cerveau postérieur qui s’active – en lien avec les souvenirs des stress des expériences similaires du passées – et qui dicte nos réactions.
Ainsi, il est facile de comprendre pourquoi certains jeunes enfants, stressés de quitter le cocon familial et de s’intégrer au système scolaire, peuvent éprouver des difficultés d’apprentissage. A combien de peurs, de douleurs et de peurs de la douleur doivent-ils faire face au début du processus formel d’apprentissage ! Si la plupart réussissent à s’adapter au cadre, pour d’autres ces blocages persistent entraînant des difficultés scolaires. Leur corps a appris que l’école est synonyme de stress et de douleur pouvant aller jusqu’à la « phobie scolaire ».
Les bienfaits de la kinésiologie
La kinésiologie permet de libérer les stress émotionnels présents et passés, conscient et inconscient, qui sont enregistrés au niveau du corps. Elle permet de travailler sur l’image de soi, l’estime de soi et la confiance en soi. Enfin, elle permet également de travailler sur ses peurs / phobies et de reprogrammer ce que le corps à mal appris pour faire de l’apprentissage, non pas un moment de stress qu’il faut fuir ou combattre, mais une opportunité pour avancer.